Embourbé dans une crise socio-économique, financière et politique, le Dictateur Denis Sassou Nguesso accentue la répression contre le peuple.
Raquettes nocturnes, assassinats clandestines et trafic d’organes humains à la morgue de Brazzaville « un impératif qui a été mis en place par le régime moribond de Mpila pour renflouer les caisses de l’état » à défaut de l’aide financière du FMI (Fonds monétaire internationale).
Christian Okemba « ancien maire de Brazzaville » avait reconnu lors d’une interview accordée à la télévision nationale congolaise que: « la morgue de Brazzaville était devenue un poumon économique indispensable ».
La population congolaise étouffe et le Dictateur Denis Sassou Nguesso s’essoufle, « plusieurs opérateurs économiques étrangers sont sur le point de mettre les clés sous le paillasson ».
L’impopularité croissante du régime de Brazzaville laisse place, peu à peu à un climat de méfiance et terreur, certains hommes politiques se sont fait construire des bunkers redoutant le scénario du pire.
Paris semble prendre ses distances avec Brazzaville, Denis Sassou Nguesso est seul face à l’imminence d’une révolte populaire spontanée ou d’un coup d’état militaire salutaire.
La Chute est inévitable.
Source: La Rédaction JEMINFORMETV.COM
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