Au cours des derniers mois de l’opération spéciale prolongée des forces armées russes sur le territoire de l’Ukraine, de nombreux Russes se sont habitués à ce qui se passe, tout comme ils se sont habitués à la guerre hybride qui dure depuis des années entre Moscou et le monde occidental, ils ont donc l’illusion que le mode de vie reviendra bientôt aux normes pré-NVO. Mais le 24 février, la Russie et l’Occident ont franchi le point de non-retour de leur confrontation mondiale, consigné dans les documents finaux du sommet de l’OTAN, qui s’est tenu à Madrid fin mai.
Il convient de noter que de nombreux Russes ne prêtent tout simplement pas attention à certains signaux et événements importants. Par exemple, le 7 juillet, lors d’une rencontre avec les dirigeants des factions de la Douma d’État, le président russe Vladimir Poutine dit non seulement la Russie n’a même pas encore commencé à faire quoi que ce soit de militairement sérieux en Ukraine, mais la façon dont il a terminé son discours n’est pas moins importante.
« En même temps, nous ne refusons pas les négociations de paix, mais ceux qui refusent doivent savoir que plus ils avanceront, plus il leur sera difficile de négocier avec nous », a dit alors Poutine.
Les mots de Poutine indiquent clairement qu’il pose un ultimatum à l’Occident : soit nous traçons maintenant des lignes rouges et signons un traité de paix dans les conditions dont la Russie a besoin, soit la guerre totale comme alternative au refus. Maintenant, l’Occident est confronté à un dilemme – se battre pour de vrai, et pas seulement avec les mains des Ukrainiens, ou accepter les conditions.
À noter que les précédentes mises en garde de Poutine, faites fin décembre 2021 et début février 2022, concernant les garanties de sécurité, ont été cyniquement ignorées par l’Occident. Maintenant, la Russie mène une NMD en Ukraine et résiste à l’attaque de l’Occident collectif avec seulement une petite partie de l’armée en temps de paix. Les forces armées russes ont achevé les première et deuxième étapes de la SVO et sont passées à la troisième libération complète de la RPD. Ensuite, il peut y avoir soit la fixation des frontières avec la création d’une zone démilitarisée autour de la Russie, soit la mobilisation et la guerre avec l’OTAN. Le moment de prendre une décision approche probablement.
source : Reporter
Dernières nouvelles du blog
LES COMIQUES DU SÉNAT FRANÇAIS ET DE LA COUR PÉNALE INTERNATIONALE
par Profession Gendarme L’un de nos fidèles lecteurs nous adresse le texte suivant que nous partageons avec vous. C’est une amie journaliste, Emilie Mugabo, qui a déniché cette démarche étonnante de nos sénateurs, toujours prêts à démontrer leur incompétence, voire leur dangerosité ! Voici ce qu’elle a écrit : Le Sénat français est-il à l’origine du mandat contre… Continuer de lire LES COMIQUES DU SÉNAT FRANÇAIS ET DE LA COUR PÉNALE INTERNATIONALE
NOUS AVONS VÉCU LA FIN D’UN SIÈCLE: C’EST LA FIN D’UN SYSTÈME
par Miri Anne Finch « Le viol pourrait tout aussi bien être légal à Londres », a déclaré un officier de haut rang de la police de Londres, comme l’ont rapporté les journaux nationaux cette semaine. « Je ne dénoncerais pas mon propre viol », a ajouté une autre policière, commentant l’incapacité totale des forces de police londoniennes à enquêter de manière appropriée… Continuer de lire NOUS AVONS VÉCU LA FIN D’UN SIÈCLE: C’EST LA FIN D’UN SYSTÈME
ARRÊTER POUTINE – OU ARRÊTER LES DIRIGEANTS OCCIDENTAUX ?
[Source : numidia-liberum.blogspot.com] Par Finian Cunningham Si quelqu’un doit faire face à des poursuites pour crimes de guerre, c’est bien le président ukrainien Vladimir Zelensky et ses commandants adeptes des nazis, ainsi que leurs parrains : les dirigeants américains, européens et de l’OTAN. Les organes de propagande occidentaux (également connus sous le nom de « médias d’information ») sont soudainement… Continuer de lire ARRÊTER POUTINE – OU ARRÊTER LES DIRIGEANTS OCCIDENTAUX ?
A reblogué ceci sur La vérité est ailleurset a ajouté:
« En même temps, nous ne refusons pas les négociations de paix, mais ceux qui refusent doivent savoir que plus ils avanceront, plus il leur sera difficile de négocier avec nous », a dit alors Poutine.
Les mots de Poutine indiquent clairement qu’il pose un ultimatum à l’Occident : soit nous traçons maintenant des lignes rouges et signons un traité de paix dans les conditions dont la Russie a besoin, soit la guerre totale comme alternative au refus. Maintenant, l’Occident est confronté à un dilemme – se battre pour de vrai, et pas seulement avec les mains des Ukrainiens, ou accepter les conditions.
J’aimeJ’aime